L’actionnariat salarié au service du partage de la valeur en entreprise
Si l’actionnariat salarié n’est plus une nouveauté pour les grands Groupes du CAC 40, il reste un dispositif assez méconnu et peu sollicité pour les PME et ETI. A une époque où les entreprises cherchent à donner du sens à leur activité et partager de la valeur avec leurs collaborateurs, l’actionnariat salarié constitue pourtant un outil efficace et facile à mettre en place. Et pour les convaincre, Equalis Capital s’est donné pour mission de les accompagner dans cette démarche.
En France, près de 3 millions de salariés sont actionnaires de leur entreprise, ce qui en fait le 1er pays d’Europe. « L’actionnariat salarié est un dispositif qui permet aux collaborateurs d’acheter des parts de leur entreprise. On le retrouve lors de grosses opérations financières comme un rachat ou lors d’un Management Buy Out par exemple », explique Charlotte Filaudeau, Consultante chez Wellcom. « C’est lors du vote de la loi PACTE en 2018, qui contenait des mesures incitatives pour favoriser l’actionnariat salarié, que le sujet a fait l’objet d’une attention médiatique plus importante. Equalis Capital, spécialisée dans la diffusion et la promotion de ce dispositif à destination des PME et ETI, a alors fait appel à Wellcom pour faire entendre sa voix ».
Mobiliser les collaborateurs
Alors que le sujet du partage de la valeur se fait aujourd’hui une place de plus en plus importante dans les médias, la question de l’actionnariat salarié commence à gagner du terrain. « Equalis Capital produit un baromètre annuel qui montre chaque année que l’actionnariat salarié booste la compétitivité des entreprises. », poursuit Charlotte. Et il n’y pas de meilleur investissement que celui dans sa propre entreprise ! « C’est le moyen idéal d’aligner les intérêts d’une société sur ceux de ses salariés, de mobiliser l’ensemble des collaborateurs dans une démarche collective. A l’heure où la quête de sens est plus que jamais au cœur des attentes de la société, l’actionnariat salarié permet d’intégrer cette dimension directement dans l’organisation des PME et ETI ».
